Nous soutenons tous Gabriel à Bordeaux !!!!

Son portrait

Pourquoi avez-vous choisi l’apprentissage et ce métier ?

J’ai choisi l’apprentissage du métier électricien-automaticien car j’ai toujours été naturellement attiré par les métiers techniques (mécanique, électricité, automatisme, électronique, charpente,…). Comme ce métier est très vaste, cela me permet de pouvoir travailler sur plusieurs domaines en mécanique, hydraulique, pneumatique, automatisme, électricité. Mais j’ai bien envie de travailler beaucoup plus sur l’électricité-automatisme. Étant belge et sachant que la formation en alternance en Belgique n’existe pas, j’ai donc décidé de venir en France où la formation en alternance se développe très bien pour pouvoir apprendre la conception d’une installation et sa réalisation. Le but pour moi est de rechercher en permanence l’excellence.

 Qu’est-ce qui vous a poussé à participer à ce concours ?

Lorsque je me trouvais encore en Belgique, j’avais déjà participé aux nationales belges, dans la catégorie contrôle industriel. Ce concours me permet d’avancer à grands pas dans ma formation car aux Olympiades on est jugé autant sur l’excellence que sur la rapidité du travail effectué. Ce concours me permet d’aller au bout de mes possibilités pour parvenir à réaliser une maquette fonctionnelle dans les règles de l’art toujours en visant l’excellence.

 Qu’est-ce-que vous apporte le concours ?

Le concours m’apporte une bonne satisfaction dans mon travail en général. Cela me permet de voir où sont mes erreurs, où je peux améliorer la propreté. En effet,  chaque fois que je termine un travail, je me dis toujours que je peux mieux faire, et le jury est là pour m’indiquer ce que je pourrai mieux faire à l’avenir.

 D’après-vous quelles sont les qualités requises pour participer ?

Pour moi, les qualités requises pour participer sont multiples. Il faut déjà avoir beaucoup de courage et ne pas avoir peur de travailler pour préparer au mieux les olympiades. Il faut être très à l’aise avec l’électricité de type industriel et avoir été correctement initié sur les armoires de type industriel et sur l’automatisme. Puis, il faut s’entourer de bonnes personnes pour être « coaché ». Au passage, j’en profite pour remercier Mr Bonot pour le temps consacré à la bonne préparation du concours. Et enfin, je dirais aussi qu’il faut être précis et ne jamais se dire « c’est bien comme ça ! »  car en électricité on a que très rarement droit à l’erreur, notre vie étant en jeu la plupart du temps !

Comment abordez-vous les finales nationales ?

Et bien pour les nationales, je ne le prends certainement pas à la légère. Donc je vais tout simplement travailler mes lacunes pour être efficace le jour des finales. J’espère aussi être bien épaulé par le pôle formation des industries technologiques.

© crédit photo : Vincent Arbelet

 

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